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 Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]

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Netyrianna Stewart
Netyrianna Stewart
Messages : 7
Date d'inscription : 22/01/2014
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Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Empty
MessageSujet: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeMer 22 Jan - 14:16



Netyrianna Stewart



Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Charle10
Qui es-tu ?



    NOM : Stewart
    PRÉNOM : Netyrianna
    ÂGE : 23 ans
    SEXE : Masculin
    STATUT : Maître Neutre
    ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
    MÉTIER : Nettoyeur
    NATIONALITÉ : Anglais






Physique

Rien n’est généralement plus trompeur que l’apparence physique d’une personne, n’est-ce pas ?

Celle de Netyrianna ne se soumet pas à cette règle pourtant. Encore qu’en se penchant plus en avant sur son profil psychologique et caractériel, on peut penser qu’éventuellement, il cache bien son jeu.

Quoi qu’il en soit, son apparence est celle d’un jeune homme dans la vingtaine. Plutôt grand, atteignant facilement le mètre quatre-vingt cinq, si ce n’est légèrement plus, il a tendance à légèrement impressionner  les gens qu’il lui arrive de croiser au gré de ses voyages et vagabondages divers et variés, et ce malgré sa largeur d’épaules relativement faible en comparaison de sa hauteur. Car s’il est haut, il est également fin et constitué de muscles solides, bien plus dessinés sur son corps à la blancheur d’albâtre que réellement volumineux et développés à force d’exercices de musculation intensive. Svelte et athlétique, il est plutôt le genre de personne à passer rapidement et discrètement au milieu d’une foule plutôt que de forcer le passage en jouant des coudes. Paradoxalement, il possède une connaissance très poussée dans le domaine du combat, acquise à la suite d’une longue et laborieuse instruction dans le but à l’époque inavoué d’en faire un Nettoyeur de génie, profession qu’il exerce aujourd’hui avec brio et sans jamais rencontrer le moindre obstacle pouvant nuire d’une quelconque façon à la réputation qu’il s’est forgée au fil de ses quelques années de service particulièrement appréciées. Mais nous y reviendrons de façon plus détaillée ultérieurement.

Son visage, plutôt pâle, arbore une paire de grands yeux vairons en mi-teinte (ni trop clairs, ni trop foncés) : tandis que sa prunelle gauche arbore la froideur d’un bleu arctique ayant le don de rendre les gens nerveux et assez peu enclins à créer le moindre lien social avec sa personne, la droite s’offre le luxe d’un beau vert pomme qui fait naître en ceux qui le voient un sentiment étrange de sérénité et de confiance. La paire de pupilles dépareillées encadrent un nez droit, ce dernier surplombant de très fines lèvres rubicondes. Ses cheveux mi-longs d’une blancheur de neige sont raides et toujours parfaitement disciplinés, quelle que soit l’heure de la journée, quelle que soit la situation dans laquelle il se trouve : sa coiffure, en effet, est l’objet d’un soin tout particulier qui permet au jeune homme de jouer avec la versatilité des émotions d’autrui. En vérité, jouer ne serait pas un terme approprié, car il s’agit là d’un concept qui lui échappe et qui n’est que le vestige d’un loisir qu’il n’a jamais réellement eu la chance d’expérimenter. Les sentiments sont très facilement influençables, et Netyrianna est passé maître dans l’art de retourner une situation en sa faveur de manière très simple. Lorsque sa chevelure immaculée masque son œil droit et ne laisse apparaitre que le regard glacial du tueur-né, il inspire la crainte chez son interlocuteur. Au contraire, inverser sa frange révélera son iris vert d’où transpire une certaine jovialité, si ce n’est de la sensualité, et qui lui donne cet air avenant lui offrant souvent le regard de quelque femme (et de certains hommes) qu’il lui arrive de croiser.

Du fait de sa profession, il est évident qu’un certain code vestimentaire lui incombe. Il va également de soi que ce dernier lui a été imposé depuis sa plus tendre enfance, rendant pratiquement indissociables ce corps et ces tenues. Ordinairement considéré comme un homme d’affaires des plus respectables, il se vêt généralement d’une belle chemise dont la couleur unie peut varier, mais sans jamais tendre vers l’extravagant ou le manque de goût le plus grossier. A cela, il ajoute un costume sombre (noir, le plus souvent) portant l’estampille des marques les plus cotées et les moins abordables du marché, dont les retouches précises effectuées par la suite donnent l’air d’une tenue faite entièrement sur mesure. De belles chaussures noires parfaitement cirées, aux finitions impeccables, dans un style Britannique caractéristique qui ne manquera pas de faire naître chez le jeune homme une certaine nostalgie de la Mère Patrie. Les accessoires ne sont pas en reste, avec une vaste collection de cravates de soie du plus bel effet, auxquelles il s’offre parfois la fantaisie d’ajouter d’un mouchoir de poche assorti. Enfin, comble de l’élégance, de superbes boutons de manchettes en harmonie avec ses chemises, dont la base en argent massif aura tôt fait d’étiqueter le Bâtard comme appartenant à une caste sociale particulièrement élevée.
Mais je vous rappelle que les apparences sont souvent trompeuses, et que si le luxe et l’abondance de richesses se voient immédiatement attribués à cette figure du plus typique des Dandys Britanniques, l’on occulte aisément qu’une telle enveloppe peut cacher un être brisé et réduit à l’état de loque.

Victimes… Oui, mais dans quel contexte ?





Mental

Essayer de mettre une étiquette caractérielle sur ce personnage en étant entièrement dans le vrai relèverait de l’exploit et, surtout, de l’invention d’un nouveau qualificatif à inscrire dans le dictionnaire des adjectifs. Car s’il parait simple, au premier abord, de cerner Netyrianna Stewart, il arrive souvent qu’une étude plus approfondie finisse par faire perdre à toute personne s’y essayant l’espoir de savoir ce qui se cache réellement derrière ses yeux brumeux.

D’un naturel calme et réservé, il est une personne à mi-chemin entre la réflexion pure et l’action impulsive. Très posé, il observe avec calme les situations dans lesquelles il se trouve avant d’opter pour une attitude à suivre. La sérénité de son esprit n’a d’égal que sa capacité à trouver les solutions aux problèmes auxquels il se trouve confronté, et ce en fouillant dans les nombreuses expériences qu’il a su traverser au fil des années. Particulièrement froid lorsqu’on le rencontre pour la première fois, on se rend vite compte que ses capacités à interagir dans un milieu social donné sont relativement limitées. Il ne montre jamais aucune émotion à qui que ce soit, se dissimulant constamment derrière un masque de stoïcisme exacerbé, si bien que l’on peut se demander parfois s’il ne tient pas plus de la machine que de l’être humain. Généralement associé à un bloc de glace dont la particularité serait de se mouvoir au milieu de la population, il crée généralement un malaise chez les gens qui ont le malheur de croiser son regard, comme s’il était soudainement en mesure de sonder jusqu’au plus profond de leur âme et d’y déceler jusqu’à la plus petite parcelle de désir honteux et inavouable.

L’un des traits de caractère les plus présents chez le jeune homme est sans le moindre doute son sens de l’Honneur. Conscient d’avoir été élevé selon des principes aujourd’hui désuets, il considère ce dernier non comme une tare mais comme une richesse qui manque cruellement aux individus des générations actuelles. Bien que très au courant des pratiques du Monde tel qu’il est aujourd’hui, il respectera ses fondements et s’y pliera de bon gré aussi longtemps qu’ils n’interféreront pas avec son code et ses valeurs, pour lesquels il n’opposera aucune hésitation au fait tuer ou mourir pour peu qu’il s’agisse de les défendre. Après tout, il est toujours préférable de choisir de s’éteindre avec fierté pour ses idéaux que de se plier aux règles énoncées par ceux qui crachent sans vergogne sur toute forme de dignité. Du moins est-ce là l’un des points fondamentaux qui furent au cœur de cette éducation si particulière qui, au-delà d’avoir été stricte et véritablement éprouvante pour l’enfant qu’il était à l’époque, a réussi à faire de lui un être humain dont le comportement est régi non pas par les émotions et l’instinct, mais par une série de principes inculqués par une image paternelle dont la haine que cette dernière lui inspire est paradoxalement l’un des moteurs de son existence.

De plus, et non des moindres, ce qu’il cache aux yeux de tous est l’amour véritable et inconditionnel qu’il voue à sa grande sœur. Pour celle qu’il considère comme un mère et qui lui a offert toute l’affection qu’elle était en mesure de lui donner, alors même qu’il souffrait de sa situation d’enfant illégitime qu’elle aurait dû, en toute logique, renier et prendre de haut, pour celle qui a toujours été présente à ses côtés, de sa naissance jusqu’au jour d’aujourd’hui, il sacrifierait sans la moindre hésitation son existence et son âme, ne reculerait devant aucun obstacle pour lui rendre cette bonté qui, il ne l’a jamais avoué, lui a sauvé la vie à bien des reprises. Si le Bâtard Stewart est connu pour n’être qu’un bloc de marbre, une statue froide aux capacités analytiques largement supérieures à la moyenne, il ne se laisse aller à l’émotivité qu’en de rares occasions, lorsqu’il retrouve avec une certaine candeur infantile les bras aimants et chaleureux de celle que l’on peut considérer comme la femme de sa vie. Cessons cependant toute remarque pouvant être faite sur l’éventualité d’une passion incestueuse qui serait susceptible d’animer le jeune homme. En effet, bien que ce dernier puisse être considéré par défaut comme une personne hétérosexuelle, il serait peut-être plus approprié de voir un lui un représentant asexué de l’espèce humaine. Fort peu intéressé par la dimension relationnelle ou les interactions charnelles, il ne vit que pour son travail et ne se laisse jamais distraire ou dévier de son objectif.

Enfin, il est à noter que, de par sa condition d’enfant dont l’illégitimité des origines ne fut jamais à prouver, il est la victime d’un très fort complexe d’infériorité. N’étant ni aristocrate, ni prolétaire, il ignore où est véritablement sa place dans la société et se démarque du reste de la population par un rejet constant de toute forme de hiérarchie, bien qu’il ne le montre que rarement. Son masque figé de parfait gentleman, intégré à la société qui le voit évoluer sans que jamais il ne pose le moindre problème, dissimule une terrible réalité : il est un être brisé. De ce fait, il est malgré lui doté d’une certaine empathie -toute relative- pour ceux qu’il considère être de son espèce. Les pantins désarticulés, les peluches évidées et lacérées, les jouets laissés à l’abandon… Belle métaphore pour parler de ces personnes dont on ne se soucie pas, dont on n’ose pas se soucier, que l’on laisse à leurs sorts, qui finissent par se faner tout doucement et rendre un dernier soupir à l’écart de tous.

Victimes… Nous le somme tous !




Histoire

Lorsque j’ai ouvert mes paupières sur le ciel azur et que j’ai lentement pris conscience du doux ballotement des vagues contre la coque de ce qui me semblait être une horrible vieille barque, et qui me fut vite révélé en tant que luxueux bateau de plaisance, j’ai compris que j’avais de nouveau échappé de peu à l’étreinte glaciale et suffocante de Dame la Mort. Une fois de plus, je revenais des Limbes qui m’étaient devenues somme toute assez familières, au vu de la relation privilégiée que je semblais entretenir avec la Grande Faucheuse, dont l’amour qu’Elle me portait n’avait d’égal que ce dégoût profond que je lui inspirais et sans lequel il y a bien longtemps que je ne serais plus parmi les vivants… Et sans lequel, bien sûr, vous ne vous embêteriez pas à lire ces quelques mots.

Mais ne brûlons pas les étapes, voulez-vous ? De toute façon, que vous le vouliez ou non, vous serez bien tenu de lire tout ce que j’aurai l’audace de vous lancer à la figure. Et si vous veniez à vous demander la raison de cela, je vous répondrais tout simplement que je maîtrise le Verbe. Lisez la suite ! Qu’il en soit ainsi…



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Je suis mené à un long couloir dont les murs et le carrelage d’une noirceur d’ébène sont éclairés par une douzaine d’ampoules incrustées dans le plafond, diffusant une lumière blanche et froide comme je les apprécie. J’avance de quelques pas en direction de la porte située à l’autre bout du corridor, le talon de mes chaussures claquant sur le sol glacé à chacun de mes pas, tandis que mon regard se porte invariablement sur la neuvième lampe qui ne cesse de s’éteindre et de se rallumer d’une façon si régulière qu’elle en devient stressante, à tel point que le seul désir qui m’habite est celui de l’arracher de son support et de la réduire en une bouillie de verre pilé. L’heure n’est cependant pas à la contemplation et au fantasme, mais à l’action mûrement réfléchie. Ne pas se laisser distraire et rester focalisé sur l’objectif à atteindre. Mes paupières se ferment un instant avant de laisser apparaitre mon iris gauche qui me servira de laissez-passer, pour peu que j’arrive à bien jouer les cartes à ma disposition.

Arrivé devant la porte à poignée métallique, je ne prends pas la peine de frapper avant de m’introduire sans la moindre forme de procès dans un bureau dont l’occupant ne s’attend visiblement pas à être dérangé de la sorte. Fonctionnaire ventripotent au visage cramoisi, il est vêtu d’un costume trois-pièces d’une horrible couleur marron, censé lui donner l’air respectable mais qui le serre tant et si bien qu’il semble tenir plus de porc que de l’être humain. En voyant ainsi un étranger pénétrer son espace vital, il semble soudain pris de panique et se précipite sur la souris de son ordinateur, tentant tant bien que mal de couvrir les traces de son passage sur un site à caractère pornographique, tandis que je peux encore entendre distinctement, comme s’ils continuaient d’être diffusés au travers des haut-parleurs, les gémissements orgasmiques simulés d’une actrice violentée qui, une seconde auparavant, servait de divertissement honteux à un homme apparemment aussi dégoûtant à l’intérieur qu’il ne l’est en apparence. Il fait mine de me reprocher mon intrusion mais cesse aussitôt qu’il croise mon regard, bafouillant une série de mots incompréhensibles et baissant les yeux. Sans lui adresser un mot, je lui montre une pièce de monnaie ancienne qu’il reconnait immédiatement, et qui lui inspire quelques gouttes de sueurs froides sur son front gras. Il sait que je ne suis pas un client comme les autres, que je ne suis pas là pour les services que propose cette entreprise de façade. Je suis là pour le véritable Patron, celui qui se cache au sein des murs de béton de cet immeuble gigantesque.

Il déverrouille une lourde porte de métal et m’invite à la rencontre de l’homme qui tire les ficelles. Encore un couloir : celui-ci forme un angle au-delà duquel patiente une espèce d’armoire à glace, un gorille en costume, apparemment censé empêcher les intrus de continuer leur chemin sans l’approbation préalable de son maître. Je ne m’en formalise pas, me contentant d’avancer sans m’arrêter un seul instant, me rapprochant de plus en plus de cette figure énigmatique qu’il me brûle de voir en face à face. Alors que le géant de muscles et d’os esquisse un geste dans l’optique de me stopper dans mon élan, je tends vers lui ma main dans laquelle apparait un Derringer argenté dont je presse la détente, expédiant une cartouche en pleine figure de cette piètre figure d’autorité, plus semblable à un vigile de supermarché qu’à un garde du corps. Le corps pivote légèrement avant de s’écraser au sol, et des sons saccadés se font entendre de l’autre côté du mur, tantôt des ordres criés à la volée, tantôt le son d’une arme chargée et prête à l’emploi. Il faut bien avouer que la détonation manquait cruellement de discrétion. Cela aurait pu être particulièrement problématique si mon but avait été un tant soit peu différent. Mais tout se déroule comme prévu. Je soulève tant bien que mal le cadavre qui doit bien peser sa centaine de kilogrammes, et le place contre la porte, attendant patiemment que le silence se fasse et qu’ils soient tous entièrement focalisés sur cette unique issue. De mon côté, je prépare mon matériel : je sors mes deux armes de poing et vérifie que leur magasin est rempli, avant de m’équiper de mon atout pour cette mission, que je fixe au dos du corps sans vie. Une minute passe, puis une seconde, avant que je ne décide de passer à l’action.

Je retire la goupille de la grenade incapacitante et donne un puissant coup de pied dans les reins de mon mannequin de diversion qui traverse la porte et se fait sans surprise cribler de plomb avant de s’affaler au sol, laissant bien apparent le dispositif explosif qui émet alors une lumière aveuglante et une détonation assourdissante. Dissimulé derrière le mur, juste à côté de l’ouverture béante, j’attends cet instant pour me jeter dans la pièce et d’éliminer le plus grand nombre d’opposants, tâchant d’économiser le plus de munitions possibles, limitant le gaspillage en visant le cœur ou la tête. Le nettoyage se fait rapidement, et dans les règles de l’art. Ils tombent les uns après les autres, comme fauchés par ma compagne fidèle, celle qui repose sur mon épaule et qui refuse mon âme tout en collectant allègrement celles de mes victimes. Soudain, une douleur à la poitrine. Le choc me fait faire un tour sur moi-même et je m’écrase lamentablement contre un mur que je tache d’une grande quantité de fluide vital. Un instant d’inattention, dans ma profession, est généralement synonyme d’erreur fatale. Mon regard se pose doucement autour de moi, ne s’attardant que peu sur le sol jonché de cadavres et se focalisant sur la source de mon mal-être. Un homme en costume, armé d’un revolver de gros calibre, se lève péniblement et boîte dans ma direction. Je tente de lever mon bras encore valide lorsque je sens une nouvelle munition pénétrer ma clavicule et ressortir par mon omoplate. Je lâche mon semi-automatique. Le choc m’a sonné, et je commence à voir flou, de même que la voix de cet homme qui s’adresse à moi me semble lointaine. Un reflet argenté précède le contact dur et froid du canon d’un Colt Python contre ma mâchoire. Mes paupières sont lourdes. J’entends un cliquetis caractéristique et aperçois le barillet qui tourne, alignant une balle dans la chambre de tir. Une détonation.

La cible s’effondre et j’entends des bruits au loin. Des hommes entièrement vêtus de noir, armés de fusils, entrent en trombe dans la pièce et crient des ordres incompréhensibles. L’un d’eux s’approche et prends mon visage entre ses mains, sans que je ne puisse me débattre de quelque manière que ce soit. Je vois ses lèvres bouger, je comprends qu’il s’adresse à moi et sans doute me crie-t-il de rester éveiller, mais je n’entends plus rien et mes paupières se ferment tout doucement. Alors que je m’imagine une dernière fois son visage radieux, je me sens finalement en paix.

Il parait que lorsque les gens meurent, ils voient leur vie défiler devant leurs yeux. Cela n’a pas été mon cas. Daignez, cependant, rester un moment pour que je vous raconte moi-même l’histoire de mon existence. Ainsi soit-il…

Je suis un Bâtard, dans le sens propre du terme. Alors que mon père était le très respecté et craint Comte William Stewart d’Angleterre, ma mère n’était qu’une inconnue, une prolétaire dont j’ignore jusqu’au nom et qui eut la simple malchance de posséder un corps et un visage béni par les Dieux. D’une relation adultère, je vis le jour, m’extirpant du ventre de ma génitrice qui m’abandonna sans demander son reste, une fois qu’on lui eut offert une belle somme d’argent pour m’effacer de sa mémoire et de ne plus jamais se souvenir avoir un jour donné la vie au monstre que je suis. Et c’est tout aussi simplement que je rejoignis malgré moi les rangs de cette famille qui ne manquait de rien, et au sein de laquelle je passai mes premières années au contact de mes demi-sœurs et de mon demi-frère, l’aîné des héritiers. L’avantage, avec les enfants, c’est qu’ils ne se soucient nullement des origines de leurs semblables : quand bien même je n’avais pas, contrairement à eux, connu la chaleur du noble utérus de la Comtesse Stewart (de son vrai nom Emilia MacTavish), ils m’acceptèrent comme compagnon de jeu et me traitèrent en égal. Du moins jusqu’au jour où, cédant aux suppliques incessantes de cette femme qui me haïssait et ne voyait en moi que la preuve vivante de l’infidélité de son époux, de la honte dont il avait entaché son nom et son héritage, mon géniteur me sépara de ses propres enfants, ceux qui hériteraient de son patrimoine immense dont j’étais destiné à ne jamais voir la couleur. J’avais 5 ans.

A partir de ce moment-là, je fus envoyé du côté des domestiques, apprenant leur travail afin de pouvoir m’intégrer à cette réplique miniature de la société, me tuant à la tâche sans jamais me plaindre et ne recevant aucune marque de considération de qui que ce soit. Sans doute serais-je tombé dans l’oubli et me serais-je laissé mourir dans cet environnement hostile où je n’étais qu’une nuisance, qu’une petite bête insignifiante dont on ne veut pas avoir à faire, si elle n’avait pas été là. Hélicia Stewart, la cadette des héritiers légitimes, qui venait de temps en temps me rejoindre de l’autre côté du manoir, là où habitaient les représentants de la classe des travailleurs dont je faisais désormais partie. Ce fut elle qui contribua à mon éducation, m’apprenant tant bien que mal à lire et à écrire à la lueur d’une bougie, à compter de façon convenable, afin que je sois en mesure de me débrouiller seul si un jour je devais quitter le manoir. Sa présence me réconfortait, faisait naître en moi une chaleur agréable qui me faisait doucement oublier tous les soucis de mon quotidien. Et la même routine se répéta de longues années durant, sans que jamais elle ne manque de venir à ma rencontre, quand bien même son emploi du temps de lycéenne de bonne famille ne lui permettait que peu de temps libre. Ce dernier, elle me le réservait de façon inconditionnelle, traversant la demeure sur la pointe des pieds pour échanger quelques mots avec ce demi-frère qu’elle aurait dû mépriser, mais pour qui elle éprouvait un fort sentiment d’amour fraternel… Un sentiment réciproque.

Le jour de mon douzième anniversaire, je vis mon père pour la première fois depuis qu’il avait ordonné ma mise à l’écart de sa famille. Il avait personnellement fait tout le chemin jusqu’aux appartements des domestiques, leur enjoignant de me laver, de m’affubler de vêtements propres, et de m’envoyer le rejoindre. Pas un seul regard, ni une seule parole ne me fut destinée, comme s’il n’en avait que faire de moi. Ce n’est que lorsque nous nous retrouvâmes dans son bureau que les pièces du Puzzle commencèrent à s’assembler progressivement, un très long Puzzle qui ne serait complété que dix longues années plus tard. Il parla très peu, mais me fit comprendre que ma vie chez les domestiques était terminée et que j’habiterais dorénavant avec eux, avec la famille Stewart. En contrepartie, je devrais chaque jour passer du temps avec cet homme dont je savais si peu de choses, et qui disait vouloir m’apprendre les bases de ce qui constituerait mon destin. Je ne comprenais pas ce qu’il entendait par ces mots, mais je ne m’en faisais pas tellement. J’avais tort.

Les années qui suivirent furent un véritable calvaire, alors que cet homme que je prenais pour une sorte de banquier aristocrate, bon à rester assis derrière un large bureau et à organiser des réceptions fabuleuses pour telle ou telle association caritative, se révélait être un combattant de génie qui m’apprenait son art à force de coups répétés dont le but avoué était de forger mon corps et mes réflexes. Je ne compte plus le nombre d’ecchymoses et de fractures récoltées au fil des ans, tout comme je ne comprenais pas à l’époque pour quelle raison je devais subir un tel traitement. Il avait parlé d’un destin à accomplir, et il s’agissait apparemment de devenir un sac de frappes. Pratiquant de haut niveau dans de nombreux arts martiaux, il était un véritable monstre dans le domaine de la confrontation physique. A la fois boxeur et adepte du Bartitsu, bretteur hors pair et tireur de compétition, parmi tant d’autres, il s’appliqua à graver dans mon esprit et dans mon corps le fondement de chacune de ces disciplines. Il y eut certains jours où je n’en pouvais plus, et durant lesquels il m’obligeait à me relever et à me battre. Ces années développèrent en moi une profonde haine pour celui qui, de père absent, était devenu un tortionnaire omniprésent. Aujourd’hui encore, c’est ce ressentiment exacerbé envers lui qui me permet de continuer d’avancer, c’est cette rancœur qui m’anime lorsque je fais ce pour quoi je suis né, ce pour quoi j’ai été formé.

William Stewart rendit son dernier souffle alors que j’avais 17 ans. Etrangement, je ne ressentis pas son décès comme une libération, mais comme une violente frustration de ne pouvoir un jour me tenir devant lui en vainqueur. Cela ne m’empêcha cependant pas de quitter le domicile familial lorsque j’eus atteint la majorité, au grand bonheur de la maîtresse de maison qui n’avait eu de cesse de rendre mon existence infernale, lorsque ce n’était pas son époux qui s’en chargeait. Les deux années qui suivirent ne furent rien de plus qu’un enchaînement incessant d’emplois à courte durée dans plusieurs établissements de restauration, où je m’occupait de la plonge sans faire preuve de zèle ni pour autant cracher dans la soupe (au sens propre comme au figuré). Je ne me plaignais pas, aussi longtemps que je parvenais à être indépendant financièrement et à payer le loyer d’une habitation décente. Ce n’est que lors de ma vingtième année que tout bascula, que mon passé me rattrapa et que je dus faire face à ce destin dont je savais si peu de choses. Une grande enveloppe cachetée m’attendait chez moi, posée sur la table basse de mon studio décrépi. Le sceau, à l’effigie d’une tête de limier, m’était parfaitement inconnu. Le contenu du paquet, lui, capta immédiatement mon attention. En plus de la lettre dont l’amabilité ne semblait servir que de façade, il y avait un dossier complet sur une personne dont je ne savais rien, une épaisse liasse de billets, et un pistolet semi-automatique. Les choses étaient claires : un sponsor inconnu me commanditait un assassinat.

L’idée ne me tentait que relativement peu, à la première lecture. Bien que la paie semblât alléchante, je ne pouvais que me demander si elle valait la peine que je risque mon existence car, après tout, ma vie ne comportait guère de plaisirs et fort peu de dépenses. Mais c’est là que la réalité me frappa en pleine face : cette vie à laquelle je me raccrochais était vide de sens. Si je devais mourir, autant le faire l’arme à la main, dans une dernière poussée d’adrénaline, dans un dernier élan d’émotions avant de s’en aller tel l’animal que j’étais.

Ce premier contrat en engendra d’autres, que j’exécutai tout aussi froidement, semant la mort sur mon passage, la faisant devenir ma compagne et ma seule amie. Je rencontrai finalement mon destin : j’étais un Nettoyeur, payé pour éliminer ceux dont la société ne veut plus. La raison pour laquelle mon paternel m’avait formé à cette profession dont l’illégalité certaine ne semblait pas me gêner le moins du Monde, je l’ignorais totalement. Ce que je savais, en revanche, c’était que j’excellais dans ce que je faisais. Peu d’erreurs, aucune trace. Ce que j’appréciais chez cet Employeur Fantôme, comme il m’arrivait de l’appeler, était qu’il paraissait posséder les mêmes principes que ceux selon lesquels je vivais mon existence : ni femme, ni enfant. Jamais il ne me fut demandé d’abattre l’un ou l’autre, et sans doute aurait-ce été un problème si la situation avait dû se présenter à moi. Quoi qu’il en soit, c’est ainsi qu’après trois années de bons et loyaux services, nous en arrivons à l’immeuble, à la fusillade, à ma chute dans les Limbes et à mon réveil sur un bateau…

Je me redressai lentement sur mon séant, courbaturé et enrubanné de bandages enserrant ma poitrine sur laquelle plusieurs compresses de gaze étaient fermement maintenues. Un pansement sur ma lèvre inférieure me dérangeait quelque peu, tandis que j’observais mon environnement, tentant tant bien que mal de déterminer où je pouvais me trouver. J’ignorais déjà combien de temps j’avais dormi. Je pouvais littéralement me trouver dans n’importe quelle partie du globe, et je n’éprouvais étrangement aucune gêne quant au fait de ne rien savoir. Pour la première fois depuis des années, je n’avais pas à réfléchir, je m’offrais le luxe de laisser mon esprit vagabonder jusqu’à ce qu’une voix ne parvienne à mes oreilles.


« Morning, Princess ! »

Le timbre ne m’était pas inconnu, bien que je ne pensais pas qu’il soit possible pour cette personne de se trouver en ces lieux avec moi. Je me tournai incrédule vers celui qui m’interpellais et aperçus un jeune homme approchant de la trentaine, grand et mince dans un costume gris très chic, portant une paire de lunettes de soleil et coiffant ses cheveux blonds en une queue de cheval basse, ressemblant plus à un petit plumeau au vu de sa longueur capillaire qui ne se prêtait pas à ce genre d’extravagances.

« Morning, Edward. »

Je saluai sans entrain mon frère ainé, demi-frère pour être plus correct, que je n’avais pas vu et à qui je n’avais pas adressé la parole depuis mon départ du manoir familial. Il me sourit comme si de rien n’était et me tendit une tasse de thé que je déclinai d’un geste de la main. Il ne s’en formalisa que peu et prit place sur un siège à mes côtés, reprenant la parole tranquillement.

« I know you don’t like wasting your time, and I don’t like it either, so I am going to make this very quick, Little Brother. Yes, I am the one who saved you from a certain death, in this building four days ago. Yes, I am the one who has been sending you all these contracts for the past three years. Yes, I work for our Majesty the Queen. And no, I am not part of the SIS. »

« Who are you working for, then ? »

« The Hounds. »

« The Secret Services of the Secret Services… »

« Father worked for them. I work for them. And you, Dear Brother, work for them as well. »

« Where are we ? What are we doing here ? »

« We are near Japan. And we are here because I have work for you. »

« Who is the target ? »

« No target. Observation work. »

« Explain. »

« The Japanese have created something, a few decades ago. Apparently, they call that a NEKO. »

« That means Cat. »

« NEKOs are a hybrid form of life. I need to know what they are, how they work, and more importantly… If they can be considered a threat. In a week from now, your mission will start. For the time being, you take care of yourself and you get these wounds tended. Got it ? »

« Understood. »

Ainsi donc, me voilà sur l’Île aux Chats



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Vous avez vu ? Vous êtes arrivés jusqu'au bout... Je vous avais dit que je maîtrisais le Verbe, non ?...

Victimes… Ou Bourreau ?




Votre définition d'un hybride

De quel droit pouvons-nous considérer qu’un animal est inférieur à un être humain ? Et cette interrogation est d’autant plus vraie lorsque ceux que vous considérez comme de simples bêtes ressentent la même chose que l’être humain le plus standard. Le commerce des NEKOs n’est rien de plus qu’un esclavagisme moderne, un retour aux heures les plus sombres de notre Histoire. Lorsqu’il s’est avéré que les Noirs ou les Juifs, ou toute autre minorité ethnique exploitable, s’est vue considérée comme possédant la même valeur que les Blancs exploitants, il vous a fallu une autre espèce à mettre sous votre joug. Tout cela n’est rien de plus qu’un problème d’ego, le jeu du Qui possède la plus grosse avec des vies en jeu.
Et dans ce divertissement grossier et vulgaire, je me vois obligé de vous rejoindre, quand bien même il fut un temps où l’on me réservait un sort similaire à celui de ceux que vous vous plaisez à considérer comme de simples marchandises.







Et derrière l'écran ?


    PSEUDO : Nety/Maniak (Au choix)
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Dernière édition par Netyrianna Stewart le Mer 22 Jan - 21:39, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeMer 22 Jan - 21:21

Welcome mon beau~
Content que tu sois enfin parmi nous !
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Trash W. Hunter
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeMer 22 Jan - 23:44

Haw, man, un anglais ? You're my best friend, dude. Let's have fun together. ~

Je me sens mal de t'avoir pris pour une femme en regardant ton vava'.

Bref, j'espère que tu me pardonneras, mais je suis légèrement occupée ce soir, donc je ne peu pas trop te lire. (Même si j'ai VRAIMENT envie de le faire, right now, argh.)
Bref, Welcome here, have fun with us. o/

I look forward to RP with ya' !

Quand on regarde plus près, c'vrai qu'il ressemble à un homme. So smexy.
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Enzo Fernàndez
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeLun 27 Jan - 22:55

Bienvenue, j’ai commencé à la lire et je suis rendue à la moitié de l’histoire. Je la terminerais demain et je te dirais s’il y a quelque chose à changer ou non.
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeMar 28 Jan - 22:15

J’ai fini de lire! C’est bien écrit que j’ai l’impression d’avoir lu un vrai roman Oo (dc enzo)
Bref, juste une chose... ton perso sait-il parler le japonais? Car il est mal pris s’il connait que l’anglais et si oui, j’aimerais savoir quand.
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeMer 29 Jan - 9:59

Bonjour.

En premier lieu, j'aimerais vous remercier pour vos quelques messages de bienvenue. J'espère que tout se passera pour le mieux, lors de cette formidable aventure qui commence dès aujourd'hui sur l'Île aux Chats.

Ceci étant dit, et en regard de la question qui m'a été précédemment posée, il est vrai que l'éducation principalement martiale de Netyrianna ne lui a pas permis d'apprendre d'autres langues que son Anglais maternel.

Il est cependant à noter, tout d'abord, qu'il dispose d'une mémoire eidétique qui lui permet, virtuellement, de se souvenir de toutes ses expériences et de tout ce qu'il a pu voir ou entendre (ou sentir, goûter, toucher, qu'importe).

En ajoutant à cela deux années (de 18 à 20 ans) passées en grande partie à Londres (qui, aujourd'hui, compte près de 300 langues parlées différentes et environ 50 communautés non-indigènes) à côtoyer un certain nombre d'individus, il a pu apprendre sur le tas les bases de plusieurs langues plus ou moins exotiques, dont le Japonais (qui a cependant fait partie des langues secondaires, derrière le Français, l'Espagnol et l'Allemand).

Maintenant, se trouvant au Japon depuis une semaine (lorsque son aventure sur l'Île aux Chats commencera pour de bon), il a profité de son temps de convalescence pour étudier de manière beaucoup plus construite et poussée la grammaire et, surtout, le vocabulaire Nippon. Il est donc tout à fait en mesure de s'exprimer dans Japonais correct, bien qu'il puisse être quelque peu bancale de temps à autres, et que son accent Britannique puisse transparaitre ici et là malgré ses efforts constants pour communiquer au mieux.

J'espère que ces explications vous satisferont. S'il se trouve quoi que ce soit d'autres à modifier ou expliquer, je vous prie de m'en faire part afin que tout soit aux normes le plus rapidement possible.

Je vous souhaite une excellente journée.

Netyrianna Stewart
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitimeMer 29 Jan - 14:02

Bien! Je ne vois donc rien qui m’empêche de te valider.
Je valide.
Bon rp ^^
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MessageSujet: Re: Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE]   Netyrianna Stewart - The Hound [FICHE TERMINEE] Icon_minitime

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